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Moins d'ambiguïté pour les boursicoteurs actifs

Les particuliers investissant activement en Bourse pourraient, à l'avenir, être assimilés à des professionnels et voir leurs plus-values requalifiées en bénéfices non commerciaux (BNC).

L'administration fiscale vient de préciser dans quelles conditions elle pourrait soumettre les plus-values d'un boursicoteur actif au régime d'imposition des bénéfices non commerciaux (article 92 du Code général des impôts). La loi pose comme principe que le contribuable concerné ne doit pas réaliser les opérations boursières dans " des conditions analogues " à celles des professionnels. Selon une instruction fiscale du 21 février 2005, les caractéristiques essentielles de ces conditions sont " la détention, la maîtrise et l'usage d'informations et de techniques d'intervention spécialisées, ainsi que leur recherche organisée au profit d'opérations boursières nombreuses et sophistiquées ". En outre, le montant des gains boursiers doit être relativisé en fonction des autres ressources du contribuable, en particulier ses revenus professionnels.

Assurer le bien-être de ses contemporains est une noble tâche. Sincèrement. Rien de plus beau que de vivre ensemble, de faire ensemble. De donner, même si cela a l'air tarte. Un État, qui est avant tout un espace du droit ( modèle universel sauf la future Europe), peut aussi être vu comme un espace social ( modèle français depuis la libération jusqu'à la fin du gouvernement Mauroy).Le problème surgit dans un État quand le droit n'est plus assuré ( on n'en est pas loin en France, et on y sera en Europe), mais aussi quand la solidarité sociale n'existe plus dans le modèle qui la revendique. = Hiatus entre les mots et les faits. Propre d'ailleurs aux totalitarismes, ce hiatus entre les mots et les faits. Le discours du meilleur des mondes pour tous, avec le Goulag, le KGB et la famine en réalité.

La solidarité sociale est chez nous, malheureusement ... devenue une seule affaire de mots. Qui est crié d'autant plus hauts etforts qu'ils sont déniés par les faits... peut-être les crie-t-on pour compenser le déficit....Le problème pratique c'est que donner des impôts sous leurs multiples formes, cela ne sert pas à la solidarité sociale, probablement pas à plus de20 % du montant ? Forces de frottements, pertes et fuites du circuit... Cespertes est pour partie du pur dilapidage, pour partie est dérivée par latuyauterie vers ceux qui ont du pouvoir sur cette tuyauterie ( effet final : concentration des richesses ; mais pas par le travail et la valeur, par la***prédation*** ) pour dire aussi : Ne tirons pas sur les baudets, les fonctionnaires ou lesrmistes. Qui est des malheureux ? Il n'a rien de pire que d'être contraint, sans recours, au désœuvrement et à la pauvreté, fût-elle distribuée gratuitement. Et ces malheureux sociaux sont aussi de malheureux de l'esprit. Condamnés à la pensée unique, celle du maître qui dispense les quelques deniers. Condamnés, à avoir pour plaisir et culture les imbécillités télévisuelles. Condamné, à croire que " tout est culture ", et donc qu'il n'est pas besoin de faire d'effort... C'est proprement dégradant de condamner nos compatriotes à cette indigence. S'il y a tant de " bras cassés " dans une société, c'est la société entière qui est malade. Ne nous trompons pas d'ennemi. Fuir l'impôt est bien et quand même, aujourd'hui, un véritable acte decivisme, d'humanité. Il s'agit de scier l'arbre pourri. Il FAUT que l'État de notre pays s'effondre. Et laisser une chance a nos enfants de reconstruire leur monde. On ne saurait trop inciter à agir en ce sens. Le monde offshore est ouvert, il est tranquille, serein. Le danger n'existe pas en réalité. Quand on est dehors, c'est fini, plus de problèmes. MAIS : Il faut vraiment sortir, tout et sans espoir de retour, et sans détails. Le danger, il existait avant - j'en sais quelque chose - et la bête prédatrice ne lâche pas sa proie, recourant à toutes les horreurs, dont poruexemple le vieux classique soviétique : La prise d'otages des enfants. [ Sans la masse des divorces et toutes ces mères fonctionnaires respectueuses repliées sur leur nid, sans le droit absolu sur les enfants qui leur sont attribués, combien de familles, combien de MILLIONS de familles auraient émigré ? un bon révolutionnaire, comme aux temps héroïques des anarchistes du 19e, c'est un être libre, qui n'a d'attaches matérielles qu'en Suisse ( déjà notre bon vieux Bakounine) ou équivalent. Et qui rongent et sapent jour après jour le système pervers. En sachant qu'il finira au mur des fédérés devant la soldatesque royale.

Vive la Commune !

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